Petite tête blonde,
De tes yeux qui parcourent le monde,
De ton sourire qui allume la vie,
Nous gardons cette envie,
Da laisser pour toi à jamais,
Cette bougie allumée.

Petite tête blonde,
Tu laisses à ta maman,
Une réserve d’amour,
Infinie… pour toujours.

Petite tête blonde,
Il faudra s’y habituer,
On est des grands, je crois qu’on sait,
C’est tout au moins ce que l’on montre.

Petite tête blonde,
Je pense à toi et à tes tiens,
Pour aujourd’hui comme pour demain.
De tout mon coeur, sois en certain.

Parfois on ne comprend pas
Ni comment, ni pourquoi.
On voudrait remonter le temps,
Changer les évènements.
Mais c’est ainsi,
Comme si c’était écrit.
Chaque jour doit être pris
Tel qu’il se présente.

Comme perdue en plein océan,
Tu penses ton cœur à la dérive.
Tu as cette peur que l’on te prive,
Et que l’on te plonge dans le néant.

Tu ne me vois pas pourtant je suis là,
Tu tiens la barre, tu vois la houle,
La terre est juste devant, ne lâche pas !
Je vise le moteur, rassure toi, tout roule.

Cette immensité n’est pas toujours si bleue,
Si calme et si limpide que l’on croit.
Les tempêtes s’enchainent, tu le vois,
Mais vu d’en haut, c’est bien peu.

Bientôt nous pourrons jeter l’ancre,
Mouiller à bon port, débarquer,
Car rien ne pourra nous arrêter,
Nous sommes juste au milieu d’un creux.

Maldives Août 2007

Maldives Août 2007

Je ne sais pas pourquoi,
Les gens n’écoutent pas.
Et je ne comprends pas,
Pourquoi tous ces débats.

Des conflits, des violences,
Comme avec des lances,
Retour au Moyen Age,
Avec tout ses sacages !

Nous ne sommes pas idiots,
Nous sommes tous égaux.
Et pourtant que de joies !
Dans ce monde ici bas.

Profitons de la vie,
C’est notre paradis.
Partageons notre amour,
Vivons jour après jour.

Ce monde n’est pas Paix,
Ce monde n’est pas laid.
Donnons-nous les moyens
D’y vivre en citoyens.
Et donnons nous la main,
Pour réussir demain.

Il n’est point de malheur,
Qui n’épargne ton cœur.
Tu espères, tu attends, mais garde l’espoir,
Car celui que tu espères viendra vite te voir.

Tu te crois victime de cette situation,
Mais les choses changent, le temps a raison,
Il fait son travail mais non sans patience,
C’est le prix à payer pour un peu de chance.

Garde la force, continue de te battre,
Chaque jour tu avances, chaque jour tu y gagnes,
Dans ce monde qui semble être le bagne.

Mais qui marche au coup de théâtre
Ouvre bien grand les yeux, regarde devant,
Le bonheur arrive et la vie t’attend.

 

Guillaume SAMBLAS

Des moments passés, des moments oubliés,
Magiques, festifs, bon ou mauvais,
Parfois difficile à digérer…
Comment ne pas trop réfléchir ?
En profiter, se laisser aller.
Nous sommes tous de simples passagers,
De ce voyage qui doit aboutir,
On ne sait où, on ne sait quand.
Quel chemin prendre, comment savoir ?
Sans se tromper, sans entrevoir,
Souffrance, tristesse ou désespoir ?
Aujourd’hui est un nouveau cap,
Comme chacun d’eux qui doit passer,
Sans heurt et sans difficultés,
Profiter, déguster, rien ne sert de se disputer.
Rire et s’amuser, c’est la seule formule à appliquer.

Comme une partie de dominos,
Un qui tombe et tous qui suivent.
Quel est le responsable de ces maux ?
Sans savoir ce qui arrive.

Lorsque sous nos pieds l’on sent,
La terre qui rapidement se dérobe,
Et que sont emportés dans le vent,
Les souvenirs des plus belles aubes,

Lorsque dans nos yeux se dessine,
L’éloignement et la souffrance qui s’animent,

Tu as participé à un jeu,
Comment dire que tu as perdu,
Quand aucune règle ne peut,
Déterminer les sommes dûes ?

Aujourd’hui toute retournée,
Penses-tu le faire changer ?
La nature est telle qu’elle est,
Nul ne peut rien modifier.

Change de cap, droit devant,
Tourne le dos, affronte le vent,
C’est bien moins qu’une tempête,
Mais tu es là et tu t’entêtes.

Regarde-moi et souris-moi,
C’est le meilleur des traitements,
Lutte contre cet événement,
Sois heureuse, prends soin de toi.

Dans la famille Ours,
Tout le monde s’aime,
Ça coule de source,
Pas de problèmes !

Maman Ours parfois s’énerve,
Il le faut bien car elle préserve,
Le Papa Ours et Bébé Ours,
Des dangers aux alentours.

Papa Ours fond pour Maman,
Il l’aime à fond en est même fan,
Mais trop timide comme un enfant,
Pour avouer ses sentiments.

Bébé Ours, bébé chéri,
De cet union est un beau fruit.
Chaque jour en cette vie,
Qui grandit et aussi s’épanouit.

Je connais la famille Ours,
Quelle chance, je la côtoie.
Mais le pourquoi de ces mots là,
C’est que j’y tiens comme un doudou.

Toi la fée qui précède le jour
Sens-tu ton pouvoir d’amour ?
Tu diffuses, tu enscences,
De quoi troubler les sens.
Tes yeux remplis de malice
Scintillent jusqu’au fond des abysses
Tu portes en toi la vie
Comme la terre qui nous nourrit.
Toi la fée de toutes les fleurs,
Use et abuse du pouvoir du bonheur
Pour que ces prochaines années
Soient un permanent été.