Il est une heure et je m’endors,
Près de toi, baigné de ton amour,
Dans ton lit sans aucun remord,
Dans ta vie depuis quelques jours.

Il est cinq heures, j’ouvre les yeux,
Par cette chaude nuit d’été,
Les balayeuses m’ont réveillé,
Je te regarde, c’est merveilleux.

Il est sept heures, le clocher sonne,
Quelques minutes encore à profiter,
De ta chaleur, de ton odeur, de ta personne,
Avant que commence une nouvelle journée.

Il est huit heures, le temps de se lever,
Tu allumes ta radio, je m’occupe de toi,
Je te regarde, laisse-moi te contempler,
Toi si belle, quelle chance j’ai.

Depuis, souvent je regarde la lune,
Comme si par elle je te parlais,
Comme si par elle je te voyais.

Je revois des images à la une,
Comme un film au ralenti,
Me montrant les bons passages de ma vie,

Des supers moments avec toi,
Qui resteront je crois,
Toujours si bons, si doux et si onctueux.