Aussi géant que les titans
Que nous avons été admirer.
Aussi moelleux que tes pancakes
Que nous aimons bien déguster.
Aussi chaud que sous la couette
Que nous aimons bien retrouver.
Aussi rythmé que la musique
Que nous aimons bien danser.
Aussi malicieux qu’un cocker
Que nous aimons bien caresser.
Aussi brillant que les étoiles
Que tu m’incites à regarder.
Aussi vivace qu’une forêt
Que nous aimons bien traverser.
Aussi bleu que ta belle robe
Que j’aime tant voir sur toi.
Aussi savoureux qu’un chocolat
Que nous aimons laisser fondre.
Aussi simple entre nous, que j’aime tant t’aimer !

On a tous, un double, quelque part
Un amour, une route, un départ
On ne sait, jamais, par où commencer
Un chemin, une voie, ne pas se tromper

Je veux la vie sans ses interdits
Mordre la pomme sans aucun souci
Voir tout d’en haut, proche du soleil
Sans tomber ni brûler mes ailes

Tout quitter, tout claquer sans se retourner
Apprécier les moments, les heures à donner
Et éteindre tout au fond, sa mélancolie
Raviver son étoile, toutes les mélodies

Je veux la vie sans ses interdits
Mordre la pomme sans aucun souci
Voir tout d’en haut, proche du soleil
Sans tomber ni brûler mes ailes

Lorsque j’ai ouvert la porte,
Ce jeudi, de plein automne,
Obligé de tenir mon chien,
Faire diversion, un peu pour rien
Tes yeux verts m’ont éclairé,
Et mon âme s’est allumée

Et, j’ai compris,
De ce que j’ai appris
Simplicité de l’amour, tes basket et puis quelques merveilles,
Des balades en forêt, quelques cinés et aussi des abeilles,
Rien qu’une vie à deux, le chien et puis après…

Toi, et moi et après quelques pas,
Des paysages, de par là-bas,
Prendre ma main ou m’embrasser,
Que faire, que dire, ou hésiter ?
Dis-moi donc, qu’à tu à perdre ?
Pas grand chose, à part la tête.