Parfois quand la nuit est noire
Et qu’on ferme les yeux,
Il arrive alors bien plus grand qu’une armoire,
Une vilaine peur qui fait comme un noeud.
On a beau ouvrir et refermer les yeux,
Rien n’y fait, c’est un peu douloureux.
Il suffit alors d’entrevoir une image,
D’un petit enfant tout sage,
Un éclat de voix et un joli sourire,
Pour qu’enfin on se sente revivre.
S’apaiser, se poser, allumer l’amour,
Bienvenue sommeil, c’est parti pour un tour,
Et qu’enfin le soleil illumine nos jours !

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