J’ai compris aujourd’hui
Qu’il n’y avait que toi dans ma vie
Mon envol vers cet inconnu
M’a fait douté et m’a perdu

Mais je sais maintenant
Que si tu t’en allais
Comme envolée par le vent,
Ma flamme pour toi resterait allumée.

C’est bête mais je t’aime.
Même si tu m’écoutes,
Et que tu ne me crois pas,

L’amour est souvent un problème
Rempli de beaucoup de vagues
Et je suis toujours là pour toi.

Comment pouvoir choisir
Sans vraiment se tromper ?
Comment pourrais-je dire
Vers quels sens se tourner ?

Je sais ce que tu vaux,
Encore bien plus que moi
Et que tous les oiseaux
Qui tournent autour de toi.

La vie et la souffrance,
Sont deux valeurs courantes
Et moi en ton absence,

Souvent je me lamente.
Un jour seras-tu là
Pour finir avec moi ?

Malgré ce que je pensais
A ce jeu là, je me suis perdu
Gêné plus que tout
Aurais-je l’espoir, de vous le dire
L’acte de me raisonner pour
Illustrer le fond de mes pensées
Et pouvoir me décider…

Tout se mélange en moi,
Tout ce remue ménage,
Me perd…
Bien sûr je pense à toi
Mais les choses aussi changent,
C’est le jeu…
Tout semble s’éloigner
Dès que tu n’es plus là,
Et pour toi alors ?
Serons-nous toujours là,
Quand nous en aurons besoin ?
Le cœur me serre et j’en frémis
Mais c’est la vie qui aboutit,
Jour après jour,
Nuit après nuit,
A l’éternel cycle du petit Eros.

Bien sûr que je vous apprécie,
Mais aujourd’hui, je suis parti.
Une année vient de s’écouler,
J’ai jugé bon de m’en aller.
Vous aurez su me faire rire,
Vous aurez su me faire pleurer.
Plus de soucis, plus de regrets,
Juste quelques bons souvenirs,
Lointains souvenirs assez fous,
Et passés bien vite avec Vous.

Elle a beaucoup de charme
Mais elle ne le sait pas.
Elle seule est une redoutable arme.
L’Amour je le sais la séduira.
Il est pourtant difficile de bien la connaître.
Née parce qu’elle le valait,
Et née pour un cœur, et aussi pour un être.

Ton arrivée fut plus qu’un éclat de bonheur,
Un rayon de soleil, une étoile filante.
J’ai laissé derrière moi tous mes anciens malheurs,
Et tu as séché les larmes de ces attentes ,

Infinies, interminables, inoubliables,
Passées dans un ravin sans fin et dans l’ombre.
Je peux enfin goûter à d’assez bons moments,
Après tant d’espoirs envolés. Mon cœur sombre,

Retrouve la lumière s’ouvrant ainsi à toi,
Te montrant que je t’aime et aussi la raison,
Pour qu’enfin nous puissions irriguer la passion,

Qui unit nos deux cœurs et sans savoir pourquoi,
J’aimerai que tu saches dans des moments pareils ,
Combien tu es pour moi, bien plus que le soleil.

D’un côté amoureux fougueux de la vie,
De l’autre haineux du temps à venir,
Je vis, je pleure, je ris et j’appréhende aussi,
Les mille malheurs du reflet du bonheur

Qui font qu’un jour je réalise avec stupeur,
A quel point je ne suis plus un enfant ,
A quel point je ne suis peu qu’un adulte
Mais où l’on me demande des choses démesurées.

La vie est longue et elle est belle,
Mais elle me lance d’infinis défis,
Auxquels j’ai la crainte qu’un jour,

Ne  pouvant plus m’y mesurer ,
Je perde ce seul bénéfice
De poursuivre ainsi ce paradis.