Un jour je t’ai connu
Toi, beauté si sensuelle
A tel point que tu m’as plu
Et que rien ne sera plus pareil

J’ai voulu fermer les yeux
Mais ta lumière est plus forte
Encore qu’un de ces feux
Que la nature parfois nous porte

Et qui détruisent sur leur passage
Les arbres les plus ardents,
Ceux qui ont résistés le plus longtemps
Mais ont fini leur vie dans les nuages

Mes sentiments pour toi sont inconnus
Mais je sais au fond de moi,
Que ce que je ressens et mets à nu,
Demeure plus solide qu’un morceau de bois.

J’ai peur que tout cela n’appartienne
Qu’à un monde qui m’est propre
Et que jamais tu ne pourras rompre
Le relation qui avec lui est tienne.

Ta présence me charrie vers le paradis,
Ton amabilité ne cesse de me séduire,
Tes mains me montrent ta finesse,
Et toi, tu me plais ! Mais…

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