Je ne te connais pas, pourtant je vis avec toi,
Je ne t’ai jamais vu, et d’ailleurs toi non plus,
Ton cœur, mon cœur, gravitent, souvent à nu,
Autour de cet ange qui défie toutes les lois.

Préserve-toi, préserve-la. Défendons-nous,
D’abimer, de détruire, de maudire, de nuire,
Cet être qui nous éclaire, qui nous rend ivre,
De tout ce bonheur à chaque rendez-vous.

Bats-toi comme chaque jour je le fais,
Apporte ton amour et tous tes sourires,
Laisse s’en aller tous les soupirs,

Mets de côté tous tes plus grands pêchés.
J’avoue nous avançons les yeux masqués,
Sur un nuage moelleux ô combien chaleureux.

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