Nul besoin de parcourir l’espace
Pour pouvoir compter les étoiles.
Lorsque rien ne les voile,
Elles sont toutes à leurs places,
Traversées par des filaments de lumière,
Mélangées a des nuanciers de couleurs,
Tel un grand champs parsemé de fleurs,
Où y coulent d’étranges rivières.
Et lorsqu’au loin se profile l’arrivée,
On reconnait cette grande tour d’acier,
Qui, surmontée de sa puissante lumière,
Nous accueille en son sein,
Un peu comme une mère.
Tout en crescendo, la fin est excellente.