Il pleure, il pleure,
Sur son étang,
En écoutant le son du vent,
La pluie qui bat le long des heures,
Abat ses feuilles a ras le sol.
Aucune crainte, il se prépare,
Au bord de l’eau, tel une idole,
Aux changements et aux nuits froides.
Il pleure, il pleure,
L’été passé,
En repensant à tous ces gens,
Ces animaux et ces enfants,
Qui font pour lui de bons moments.
Les mois pour lui qui vont venir,
Avec pour seule compagnie,
Quelques poissons et amphibies,
Aboutirons sans aucun doute,
Sur les beaux jours du mois d’août.
Guillaume SAMBLAS