Je peux vous désirer,
Je peux vous toucher,
Vous me souriez,
Vous me touchez,
Sans la moindre ambiguité,
Sans gêne auncune,
Dans la plus grande complicité.
Je peux aussi changer,
Sans vous contrarier,
Revenir vers vous,
Et être très bien reçu.
Tous deux dans la transe,
Nos corps se mélangent.
Doucement nous envahit,
La moiteur de la nuit,
La cadence varie,
Tantôt frénétique, tantôt langoureuse,
Vous avez l’air heureuses,
Je me sens épanouï,
Vous avez l’air comblées,
Vous m’en voyez ravi !
Ce bonheur qui est gratuit,
Ephémère, mérité,
Je l’ai créé, et même optimisé,
Sur les airs endiablés,
De ces belles soirées.

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