La vie t’a confié du bonheur,
C’est que tu le méritais.
Tu ne sais plus à quelle heure,
Quel jour elle est arrivée.

Ou peut-être le sais-tu trop ?
Peut-être es-tu si heureux
Tel un poisson dans l’eau,
Qu’une nouvelle histoire à deux,

Ait pu commencer si tôt,
Une histoire dans le temps,
Peut-être même au fil des ans.

C’est comme si un cadeau,
Du ciel était tombé,
Au ciel t’as amené.

J’ai fait le vide en moi,
Un jour où la raison me l’a dit.
Parce que je me sentais envers toi
Comme un coupable dans ta vie.
Par ma faute je suis seul
Mais je pense que j’ai réussi
Avec beaucoup de mal, de peur aussi
De franchir ce pas…

J’aimerai être l’ange
De toutes les douceurs,
Gommer ce qui dérange
Eviter la douleur.

Mais la souffrance de l’amour
Ou le bonheur des coeurs
Me montrent que le malheur
N’est plus rien au grand jour.

Depuis ta sortie dans ma vie,
Je sens comme un grand vide
Je sais que tu es heureuse
Et encore plus joyeuse.

Et maintenant j’attends
Celle qui saura
A mes avances répondre un temps
Et puis aussi me dire pourquoi
La vie, elle et puis moi
Pour toujours seront liés.

Un jour je t’ai connu
Toi, beauté si sensuelle
A tel point que tu m’as plu
Et que rien ne sera plus pareil

J’ai voulu fermer les yeux
Mais ta lumière est plus forte
Encore qu’un de ces feux
Que la nature parfois nous porte

Et qui détruisent sur leur passage
Les arbres les plus ardents,
Ceux qui ont résistés le plus longtemps
Mais ont fini leur vie dans les nuages

Mes sentiments pour toi sont inconnus
Mais je sais au fond de moi,
Que ce que je ressens et mets à nu,
Demeure plus solide qu’un morceau de bois.

J’ai peur que tout cela n’appartienne
Qu’à un monde qui m’est propre
Et que jamais tu ne pourras rompre
Le relation qui avec lui est tienne.

Ta présence me charrie vers le paradis,
Ton amabilité ne cesse de me séduire,
Tes mains me montrent ta finesse,
Et toi, tu me plais ! Mais…

J’ai compris aujourd’hui
Qu’il n’y avait que toi dans ma vie
Mon envol vers cet inconnu
M’a fait douté et m’a perdu

Mais je sais maintenant
Que si tu t’en allais
Comme envolée par le vent,
Ma flamme pour toi resterait allumée.

C’est bête mais je t’aime.
Même si tu m’écoutes,
Et que tu ne me crois pas,

L’amour est souvent un problème
Rempli de beaucoup de vagues
Et je suis toujours là pour toi.

Comment pouvoir choisir
Sans vraiment se tromper ?
Comment pourrais-je dire
Vers quels sens se tourner ?

Je sais ce que tu vaux,
Encore bien plus que moi
Et que tous les oiseaux
Qui tournent autour de toi.

La vie et la souffrance,
Sont deux valeurs courantes
Et moi en ton absence,

Souvent je me lamente.
Un jour seras-tu là
Pour finir avec moi ?

Malgré ce que je pensais
A ce jeu là, je me suis perdu
Gêné plus que tout
Aurais-je l’espoir, de vous le dire
L’acte de me raisonner pour
Illustrer le fond de mes pensées
Et pouvoir me décider…

Tout se mélange en moi,
Tout ce remue ménage,
Me perd…
Bien sûr je pense à toi
Mais les choses aussi changent,
C’est le jeu…
Tout semble s’éloigner
Dès que tu n’es plus là,
Et pour toi alors ?
Serons-nous toujours là,
Quand nous en aurons besoin ?
Le cœur me serre et j’en frémis
Mais c’est la vie qui aboutit,
Jour après jour,
Nuit après nuit,
A l’éternel cycle du petit Eros.

Bien sûr que je vous apprécie,
Mais aujourd’hui, je suis parti.
Une année vient de s’écouler,
J’ai jugé bon de m’en aller.
Vous aurez su me faire rire,
Vous aurez su me faire pleurer.
Plus de soucis, plus de regrets,
Juste quelques bons souvenirs,
Lointains souvenirs assez fous,
Et passés bien vite avec Vous.

Elle a beaucoup de charme
Mais elle ne le sait pas.
Elle seule est une redoutable arme.
L’Amour je le sais la séduira.
Il est pourtant difficile de bien la connaître.
Née parce qu’elle le valait,
Et née pour un cœur, et aussi pour un être.